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ANNÉES 50

En 1948, à la suite des lois staliniennes régissant le « réalisme socialiste », Endre Rozsda est empêché de peindre. Son carnet de croquis reste le seul moyen d’exercer son œil de peintre. Il retrouve dans sa formation académique d’avant la guerre l’outil nécessaire pour capter, avec une acuité de portraitiste remarquable, le monde qui l’entoure : les gens de la rue, dans les cafés, au concert, au théâtre, aux bains publics et dans les piscines.

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